L'Hôtel Villa KOEGUI, la porte d'entrée de Bayonne et du Pays Basque
Bayonne. La ville est magnifique, la ville est joyeuse et les habitants en sont amoureux. Mais une fois qu’on y a goûté, on y revient inlassablement, car cet amour est enivrant et en quelque sorte addictif.
Un homme l’a compris dès ses premières déambulations à travers les rues et les ruelles colorées de la ville. Cet amour, Guy Néplaz, puisqu’il faut bien le nommer, l’a fait sien.
Quand les « Écrivains de la Mer » débarquent sur les quais de l’Adour et de la Nive en 2012, Guy Néplaz s’offusque de les voir abandonner la ville le soir venu. Bayonne serait-elle dépourvue d’hôtels honorables pour recevoir ces hommes de lettres ? La question posée n’a pas mis six ans à trouver sa réponse, mais six jours. L’idée est en germe et rien ne pourra l’écarter de son sillon. Bayonne aura un hôtel à la hauteur de son patrimoine, de son architecture et de son art de vivre.
Ce sera la Villa KOEGUI.
Bayonne a vécu enfermée dans ses remparts durant des siècles. Son cœur bat à la confluence de la Nive et de l’Adour ; son pouls s’accélère entre le Petit et le Grand Bayonne. Nous sommes aux 7 et 9 rue Frédéric Bastiat, à une encablure du Musée Basque et de l’Histoire de Bayonne, à deux pas du Musée Bonnat-Helleu.
Derrière une palissade, aux côtés de ce Musée, un lieu en déshérence, Le Carré Bonnat, autrefois lieu emblématique des Bayonnais, aujourd’hui désaffecté du fait de la restructuration du Musée Bonnat-Helleu et de la création du DIDAM.
Là sera l’Hôtel Villa KOEGUI.
Le quartier vit au rythme de ses bars, de ses restaurants et de ses fêtes qui rassemblent ceux qui aiment à se retrouver pour une heure ou une soirée, au son d’un chant ou d’une banda. Pour offrir aux Bayonnais et aux visiteurs un lieu de vie, de partage et de restauration, le nom du Carré s’impose alors comme une évidence en conservant son emplacement initial, au rez-de-chaussée de la future Villa KOEGUI.
Ici commence l’histoire de l’Hôtel Villa KOEGUI et du Carré.